Dauny
Les plus beaux duvets d’eider en long et en large
Notre team de spécialistes expérimentés cousent les enveloppes de fin tissu, les remplissent de précieux duvet d’eider et les contrôlent avec le plus grand soin jusqu’au moindre détail. La petite bande-label cousue en biais avec la marque Dauny et certificat de qualité d’accompagnement sont la garantie du plus luxueux sommeil dans la plus exclusive et la plus extraordinaire matière fournie par la nature.
« La collecte du duvet d’eider est l’une des plus anciennes activités agricoles d’Islande et peut-être l’une de ses plus douces et délicates. Elle relève plus d’une activité de culture que de paysannerie. Nous prenons soin des canards eiders et nous veillons à ce qu’ils nichent à leur aise et qu’ils ne soient pas dérangés. Noule les protégeons des prédateurs ». Arni Snaebjörnsson, Union islandaise des paysans Duvet d’eider.
Duvet d’eider plus précieux que l’or
Le duvet d’eider est une matière exceptionnelle, rare et luxueuse. Un produit d’élite de la nature. C’est un don que les canards polaires font à la population des régions polaires. Sa gratitude s’exprime sans doute par la merveilleuse et rarissime cohabitation des gens du Grand Nord avec les canards qui vivent à l’état sauvage. C’est unique et surprenant!
Les eiders sont des canards qui vivent dans les immenses étendues arides et glaciales le long des côtes des lacs et mers polaires. Ils sont de nature très farouche, mais il est étonnant de voir à quel point ils font confiance à l’être humain durant la période de la couvée.
Une confiance pas à l’égard de tout être humain, mais uniquement envers les gens de certaines familles. Des familles qui depuis des années prennent soin des nids d’eider. Que veut dire «prendre soin»? La «famille d’accueil humaine» contribue à l’aménagement du lieu où se trouve le nid pour le préparer à une nouvelle venue de la cane eider pour y déposer ses oeufs. L’aménagement se fait par la création d’excavations dans le terrain ou à l’aide de moyens les plus divers comme de vieux pneus à même le sol et tapissés d’un peu de foin. Des canes viennent ainsi s’installer dans l’un au l’autre des nids aménagés.
Par le processus hormonal de la mue, le fin duvet qui recouvre la poitrine de l’animal se détache. La cane s’en sert alors à l’aide de son bec pour en tapisser soigneusement l’excavation du nid, un vrai paradis de douceur prêt à recevoir les oeufs. Mais dans ce monde de paix, la mort guette. En effet, sur les rochers et sur les arbres, il y a des rapaces affamés et au sol des renards qui rodent en quête de proies. Les oeufs et les canetons sont pour eux une aubaine tombée du ciel. C’est pourquoi pendant la période de la couvée, le paysan veille la nuit sur les nids avec le fusil en main pour écarter les prédateurs. Mais il ne fait pas que protéger la jeune progéniture eider. Lorsque la mère cane sort de son nid pour aller boire une gorgée d’eau, le paysan s’approche du nid pour remplacer avec soin les touffes de duvet humides par du foin sec. L’humidité est une menace pour les oeufs, qui peuvent pourrir avant d’éclore.
Par la symbiose animal-être humain, une incroyable corrélation se crée entre les deux. Les biographies de familles de canards exactement déterminées montrent comment la biographie d’une famille de paysans exactement déterminée est étroitement liée à l’autre. C’est quelque chose d’aussi exceptionnel et unique que la qualité du duvet d’eider. Par rapport aux autres types de flocons de duvet, celui de l’eider est constitué de brins duveteux agglutinés les uns aux autres, afin que le vent ne puisse pas les emporter facilement. Ainsi liés entre eux, les brins donnent au duvet dans son ensemble une structure de chaleur et de légèreté sans pareille. Dans la main, la sensation est magique avec le ressenti d’une subtile chaleur, comme si une portion d’amour maternel s’était matérialisée au creux de la main.
C’est au milieu de ce mystère que les oisillons-canards naissent. Ils grandissent, puis vient le jour où toute la famille s’envole vers des plans d’eau de prédilection. Alors, de leur état «d’animaux domestiques» apprivoisés, les canards redeviennent des «animaux sauvages» farouches. Ce qu’ils laissent après leur départ c’est un précieux cadeau à l’intention de leur hôte d’accueil et protecteur: du fin duvet d’eider que le paysan recueille délicatement gramme après gramme, puis l’apporte au centre collecteur.
La précieuse matière est toute souillée de fientes et mélangée à du foin et du sable. Le processus de nettoyage se fait à la main par des personnes soigneuses et expérimentées. C’est un travail minutieux et qui dure des heures. L’ampleur de la récolte varie chaque année, d’où la fluctuation du prix sur le marché mondial. C’est un peu comparable à un autre précieux produit rare de la nature: la truffe.
On peut donc dire que
Ce don de la nature est plus précieux que l’or